De retour en stage depuis une petite semaine, je passe entièrement mes journées devant un écran d'ordinateur à faire des analyses des animations existantes, noter ce qui fonctionne bien, et ce qu'il faudrait améliorer, tout cela, sans aucun retour, écris ou oral des enfants ou des personnes responsables du groupe. Avec la difficulté d'être objectifs, et de ne pas ressortir tout les notions apprise au cours de la première période de formation.
Approches pédagogiques, analyse du programme scolaire, phase de développement psychomoteur et intellectuels, progression pédagogique, en ce moment j'ai vraiment de plus en plus l'impression d'être un conseillé pédagogique qu'un animateur de terrain.
Car comme dirai l'analogie de ma formatrice : " tu a trop souvent tendance de te lancer, sans lire le mode d'emploi".
Alors oui, j'avoue, au centre de loisirs, nous ne pensions pas forcement tout de suite au objectifs généraux et opérationnel lorsque nous créions une activité. J'ai donc, je pense, conservé ce mauvais réflexe qu'il me faudra oublié le plus vite possible lorsque je serai en activité en tant qu'éducateur à l'environnement.
Et...pas ou très peu d'animation à l'horizon au cours de ces deux mois d'été, qui je pense, vont me paraitre très...très..long. Le seul point positif, c'est que j'aurai le temps d'avancer sur mon projet.
C'est également le premier été (depuis 2004) où je ne travaille pas au centre de loisirs, et, bizarrement, je ressent encore plus la nostalgie des bon moments que lors des mois précédents. J'ai d'ailleurs revu, avec un grand plaisirs, les rétrospectives 2010 et 2011 que j'avais élaboré pour la fête du centre.
J'avais fortement envie de revenir faire un tour à la fête du centre de cette année, mais, par un mauvais hasard du calendrier, je serai au rencontre du réseau école et nature de Préfailles.
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